Le froid, la douleur, le souffle court...
Et soudain, la fierté d’avoir été jusqu’au bout.
Le Summum n’attend pas les hésitants il sacre les audacieux.
Prêt à tenter l’impossible ?
« Quand j’ai franchi cette ligne d’arrivée du Summum, j’ai su que tout ce qui m’avait poussé les réveils à 5h, les sessions sous la pluie,les sacrifices pour la famille avait un sens.
En tant que dirigeant d’entreprise et passionné d’endurance,
je savais que cet enchaînement allait réclamer autant de tête que de jambes. Le chemin fut long, parfois douloureux, mais ce sommet m’a appris que c’est en gardant le cap dans l’adversité qu’on atteint la véritable version de soi-même.
Aujourd’hui je peux dire : j’ai réussi, et j’emporte avec moi la conviction que chaque matin compte.
Je suis allé au bout du Summum avec l’image de l’aube sur le Mont-Blanc en tête.
Médecin ophtalmologue le jour, ultra-triathlète par passion, j’ai prouvé que même quand le corps flanche, l’esprit tient la barre.
Cette victoire n’est pas le fruit d’un seul exploit, mais de milliers d’heures d’entraînement et de résilience.
Aujourd’hui, quand je pose ce drapeau « SUMMUM », je pose aussi un repère pour tous ceux qui pensent que certains rêves sont hors portée. Non, on peut les toucher.
Quand j’ai atteint le sommet, je me suis souvenu de mes centaines d’heures de nage, de vélo, de course et de l’idée que jamais je ne m’arrêterai à mi-chemin. Le Summum était la prochaine frontière. Ultra-triathlète, papa de deux enfants, j’engageais plus qu’une performance : un message pour mes enfants, pour tous ceux qui doutent.Ce drapeau « SUMMUM » que je tiens aujourd’hui, c’est celui du dépassement de soi, de la confiance en l’impossible. Oui, je l’ai fait. Et je sais que vous pouvez aussi.
Quand j’ai planté le drapeau « SUMMUM » au sommet, je ne célébrais pas seulement un exploit physique,
mais un modèle de vie. En tant que préparateur mental, ancien recordman, j’ai appris que
la performance commence dans l’esprit. Le Summum m’a mis face à mes peurs, à mes limites, et j’ai avancé.
Ce n’est pas la première ligne que j’ai franchie, mais assurément une des plus significatives.
Aujourd’hui je dis à tous : la vraie conquête commence quand on accepte de perdurer plus que de performer.