AFFRONTEZ L’ÉPREUVE ULTIME
Summum est un triathlon ultime pensé pour les sportifs qui veulent vivre un défi hors norme. Cette épreuve réunit natation, course et vélo aux quatre coins du monde, dans des environnements qui changent à chaque étape : volcans, montagnes mythiques, océans et paysages extrêmes. Plus qu’un simple enchaînement de disciplines, Summum devient un véritable challenge où l’on teste son endurance, sa capacité d’adaptation et sa gestion de l’effort.
Chaque lieu impose ses propres contraintes : l’altitude, le climat, les distances, le terrain. Pour avancer, apprenez à rester lucide, à gérer votre rythme et maîtriser votre mental. C’est ce qui fait du Summum un défi ultime : un parcours sportif qui demande autant de force physique que de stabilité intérieure. Étape après étape, les participants découvrent leurs limites… et la satisfaction de les dépasser.
Pour beaucoup, ce triathlon devient un voyage autant sportif qu’humain. On y cherche la performance, mais aussi le dépassement de soi, la découverte et le sentiment unique d’avoir relevé un challenge que peu osent affronter. Summum n’est pas qu’une épreuve : c’est une aventure universelle qui transforme chaque sportif au fil des kilomètres.
Un défi contre soi-même, face à soi-même, connecté à soi-même.
Et notamment un qui est imminent : le Summum project, dans la vallée de Chamonix. Un défi inventé par Cyril Blanchard, le recordman français de l’Enduroman. Il s’agit de nager 3,8 km dans le lac de Coiselet, de parcourir 188 km à vélo avec 3 200 m de dénivelé positif, puis d’escalader le Mont-Blanc avec d’abord un trail jusqu’au refuge du Nid-d’Aigle où l’attendra un guide à 2 300 m d’altitude, puis direction l’ascension finale pour atteindre les 4 810 m. « Je l’ai déjà fait en 2024 en 25 h 30, j’aimerais réaliser deux à trois heures de moins, avoue-t-il. J’adore cette ascension du Mont-Blanc, c’est un vrai combat intérieur. »
Tristant Goulwenn
Très heureux (et fier !) d’avoir terminé le SUMMUM Un triathlon extrême inspiré de l’Ironman, avec en guise de course à pied… l’ascension du Mont Blanc en one shot ♂️ Natation (4k) + vélo (180k 3200d+) + sommet du Mont Blanc = 21h12 d’effort non-stop. Meilleur temps de référence actuellement. Une aventure hors norme, un dépassement total. Merci à Cyril pour son accompagnement !!
Julien Deneyer
J’ai franchi la ligne d’arrivée de cet ironman… à 4 808 mètres d’altitude, aprés 24h30 de lutte. Le Défi Summum aura sans doute été l’épreuve sportive la plus dure de ma vie. Une revanche sur moi-même… et sur la montagne, après mon accident. Un parcours vélo digne d’une étape de montagne du Tour de France — soyons honnêtes, le record était inatteignable pour moi. Des changements de température brutaux : du four solaire des vallées au froid mordant de la haute montagne. L’altitude qui ralentit chaque pas, chaque souffle. La fatigue qui s’accumule après 228 km et 7 000 m de dénivelé positif. Et pourtant… si le vélo m’a rappelé mes limites, il paraît que j’ai quand même décroché le record de l’ascension finale jusqu’au sommet du Mont Blanc . Une seule certitude : on n’arrive jamais seul au sommet. Alors: Merci à Cyril Blanchard, créateur de l'épreuve, dont le coaching et la préparation mentale m’ont permis de tenir bon après ma chute en crevasse.
Arnaud Naudan
3 étapes pour rejoindre l'élite
On raconte que le Summum n’est pas né sur une ligne de départ, mais dans le silence d’une chambre, là où le mouvement est impossible et où l’esprit, lui, refuse d’abandonner. En 2016, après avoir battu le record du monde de l’Enduroman, Cyril Blanchard pensait avoir affronté l’un des triathlons les plus durs au monde. Londres–Paris, mer, route, nuit, doute : une traversée totale. Mais le véritable basculement arriva deux ans plus tard.
Le 2 octobre 2018, un accident de la route brise ses cervicales. Immobilité. Douleur. Et, dans ce vide forcé, une vision. Un triathlon extrême qui dépasserait tout ce qu’il avait connu. Une épreuve taillée pour l’homme, pas pour la montre. Une aventure où la nature, le mental et la résilience sculptent la vérité d’un athlète.
Alité, il imagine l’architecture d’un défi ultime : une natation sauvage, un vélo sculpté par la montagne, une course qui mène au sommet — au propre comme au figuré. Un triathlon de l’impossible où l’on franchit plus qu’un col : on franchit un cap intérieur.
Le Summum devient alors plus qu’un projet. Une quête. Un appel pour ceux qui cherchent le triathlon le plus dur, le plus beau, le plus pur. Un défi pour les hommes capables de mettre leur mental au centre de la performance. Ici, pas de foule. Pas de musique. Pas d’artifice.
Juste toi, ton équipe, la montagne et la question que tout athlète finit par se poser : jusqu’où suis-je prêt à aller ?
Au Summum, on ne vient pas pour battre un temps. On vient pour se battre soi-même. Pour toucher ce point où le corps hésite, mais où l’esprit dit encore oui. Pour vivre une aventure qui dépasse le sport et devient un récit. Et quand tu franchis l’arrivée, tu ne gagnes pas un titre.
Tu gagnes une identité : tu es Summum.
Après la vision fondatrice née en 2018, l’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais une légende ne prend vie que lorsqu’elle rencontre la montagne. Début 2019, une rencontre change la trajectoire : Tony Sbalbi, guide de haute montagne de la Compagnie des Guides de Chamonix. Il voit en moi plus qu’un triathlète revenu de loin. Il voit une volonté. Et, il me donne accès au terrain où se forgent les vérités de l’endurance : le Mont-Blanc.
Cette ascension deviendra une révélation. La haute altitude ne triche pas : elle t’oblige à être juste, précis, humble. Ce jour-là, je compris que le Summum n’était pas seulement un triathlon extrême imaginé depuis un lit d’hôpital. C’était une voie. Un chemin qui devait mener aux sommets.
Les premiers messages commencent alors à arriver. Des athlètes en quête d’un défi extrême, d’un triathlon hors norme, d’une aventure humaine profonde. Tous demandaient : “Comment vivre l’expérience Summum Mont-Blanc ?”
Alors nous avons commencé. Les premières tentatives. Les premières chutes. La fatigue extrême. Le mal aigu des montagnes. La respiration qui s’effondre, le mental qui vacille, l’humilité forcée face à la pente.
Mais là où il y a des échecs, il y a aussi des victoires. Des hommes ont atteint le sommet. Ils ont compris que le Summum, ce n’est pas seulement “le triathlon le plus dur du monde”. C’est un miroir. Une aventure intérieure révélée par la montagne.
Puis vient un moment clé : le record battu, et les images captées par Bertrand Delapierre, des scènes puissantes, authentiques, où la montagne et l’homme se rencontrent. Ces vidéos fixent l’âme du Summum : un triathlon extrême, une quête de soi, une odyssée haute altitude.
Et lorsque les légendes prennent forme, elles appellent d’autres horizons. L’envie de découvrir d’autres sommets naît presque naturellement.
De comprendre comment les peuples vivent leurs montagnes. D’imaginer une aventure globale, construite avec des autochtones passionnés de leurs territoires. Sur la carte, les nouveaux noms s’imposent :
Le Mont Fuji, volcan sacré du Japon.
Le Kilimandjaro, toit de l’Afrique.
Le Mauna Kea, montagne céleste d’Hawaï.
Des lieux où l’effort devient connexion, où la performance rencontre la spiritualité, où chaque sommet raconte une part du monde et une part de soi. Car l’histoire du Summum n’est pas terminée. Elle avance, sommet après sommet. Elle se nourrit de ceux qui osent,
de ceux qui cherchent un défi ultime, un triathlon extrême, une aventure qui transforme.
La légende continue. Et elle s’écrit encore.
au terme de l'aventure !Concentrez-vous sur vous-même
Ceux qui viennent vers le Summum pensent d’abord rechercher un défi. Mais très vite, ils comprennent que l’épreuve n’est pas un simple triathlon extrême. C’est un sérum de vérité.
Le Summum révèle.
Il enlève le superflu, fait tomber les masques, ouvre l’espace où l’on se voit vraiment. Ici, atteindre le sommet ne signifie pas seulement gravir le Mont-Blanc ou le plus haut sommet de votre carrière : cela signifie accéder à une version de soi encore inconnue. Atteindre votre Summum, c’est vous découvrir pour la première fois. C’est franchir la frontière invisible entre ce que vous pensiez être et ce que vous êtes réellement capable de devenir. C’est accepter de se tenir face à soi-même, sans défense, sans rôle, sans excuse, et accueillir tout ce qui vous constitue : la force, la fragilité, la lucidité, le doute, le courage.
La Montagne : une vérité qui ne se négocie pas
Mais pour accéder à cette vérité, encore faut-il en être digne. Le Summum vous confronte à un environnement que vous ne contrôlez pas. La haute montagne est un monde qui exige respect, écoute et humilité. Ici, l’homme n’impose rien. Il compose. C’est pourquoi le départ du Summum n’est jamais garanti. Deux conditions seulement peuvent ouvrir la voie du sommet :
• L’accord du guide, héritier des usages de la haute montagne, qui décide si votre ascension peut avoir lieu en sécurité.
• Les conditions météorologiques, qui déterminent, sans compromis, l’intégrité physique des challengers.
Car vouloir atteindre le sommet ne suffit pas. Il faut mériter la montagne. Accepter qu’elle décide. Accepter que l’échec fasse partie du pacte.
Plus que du sport : une Aventure qui vous ramène à l’essentiel
Le Summum est une traversée symbolique. Chaque discipline raconte un chapitre de la vie.
La nage : la naissance.
Tout commence dans l’eau. Comme le premier souffle du monde. Un retour aux origines, à ce qui crée, à ce qui porte. La natation Summum n’est pas un combat : c’est un commencement.
Participer au Summum, ce n’est pas seulement s’inscrire à un triathlon extrême. C’est accepter un engagement intérieur : être en accord avec soi-même et aligné avec les lois de la Nature. C’est entrer dans une aventure où la volonté compte, mais où l’écoute, l’humilité et la conscience sont la véritable clé.
Le Summum vous demande une question simple : êtes-vous prêt à vous rencontrer pour de vrai ?
Parce que ceux qui franchissent cette épreuve n’obtiennent pas un titre. Ils obtiennent une transformation. Et une vérité que personne ne pourra jamais leur retirer.